La lumière occupe l’espace dans une verticalité fragile. Elle investit le vide, interstice habité par des lignes en tension et hors-tension. Le tracé se dessine par nécessité, un réseau connecté se déploie.
L’inertie se voit perturbée par l’ascension des autres, le déplacement actionne, le mouvement des corps fait circuler les fluides.
Une rythmique mécanique lumineuse se réinvente à chaque passage, des résonances apparaissent comme autant d’échos défiant l’obscurité.
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